Ariière plan des textes du site du lycée.. l'autre finalement ressemblait à des barbelés!!!
Floritalia
Ariière plan des textes du site du lycée.. l'autre finalement ressemblait à des barbelés!!!
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hein? c'est pas du vocabulaire ça!! bientôt le langage html n'aura plus de secret pour moi ...poésie quand tu nous tiens!!!
CYRANO
Parce que... jusqu'ici
Je parlais à travers...
ROXANE
Quoi ?
CYRANO
... le vertige où tremble
Quiconque est sous vos yeux !... Mais, ce soir, il me semble...
Que je vais vous parler pour la première fois !
ROXANE
C'est vrai que vous avez une tout autre voix.
CYRANO, se rapprochant avec fièvre
Oui, tout autre, car dans la nuit qui me protège
J'ose être enfin moi-même, et j'ose...
Il s'arrête avec égarement
Suite à la conversation avec K., je me demandais « pourquoi le blog ? »
pourtant: Plusieurs catégories de citoyens peuvent particulièrement s’en réjouir : les acteurs du monde de la culture, les jeunes, les femmes, les salariés. Eh oui, mai 68 a été un immense bol d’air dans un pays dans un pays où on avait l’impression d’étouffer sous les interdits de tous types :
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"sous les pavés, les plages privées, vive bigart, vive TF1, moins d'artistes et plus de police,les riches à Versailles les pauvres sur la paille, etc. " Heu....le quartier latin sous un autre angle...c'est une blague!?!
Une centaine de personnes ont défilé dimanche à Paris à l'appel de la Brigade activiste des clowns et du Ministère de la crise du logement, pour une «fausse manifestation de droite».
Scandant des slogans tels que «Neuilly aussi a ses soucis» ou «L'Etat c'est pas ta tata, assisté va travailler!», les manifestants ont «remercié notre président qui nous a enfin décomplexés», a expliqué l'un des organisateurs, Pigeon de Saint Oiseau.
Habillés en costume cravate et en tailleur, ils ont marché derrière une banderole bleu-blanc-rouge portant l'inscription «Saint Nicolas, on croit en toi», de l'église Saint-Nicolas-des-Champs (3e arr.) jusqu'à l'église réputée intégriste Saint-Nicolas du Chardonnet (5e arr.) en chantant «le clergé avec nous !».
Le cortège qui ne défilait «que sur les trottoirs de droite» s'est arrêté quelques instant autour d'une voiture de luxe en scandant «Ça c'est de la caisse, les vélos, c'est pour les prolos».
ouf c'est une connerie (j'ai cherché,ça sentait l'imposture!), je me disais aussi, pas possible des réact' pareils, je ne pouvais y coire, l'émission continue, c'est très drôle en fait, contre toute attente, on est rassuré...les clichés ont la vie dure, de tous les côtés, les gauchistes intelligents et la droite rigide... quand même....pas si simple...ça serait trop facile...
je ne vote pas ce we. pas convaincue...
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NO TE AMO como si fueras rosa de sal, topacio
o flecha de claveles que propagan el fuego :
te amo como se aman ciertas cosas oscuras,
secretamente, entre la sombra y el alma.
Te amo como la planta que no florece y lleva
dentro de sí, escondida, la luz de aquellas flores,
y gracias a tu amor vive oscuro en mi cuerpo
el apretado aroma que ascendió de la tierra.
Te amo sin saber cómo, ni cuándo, ni de dónde,
te amo directamente sin problemas ni orgullo :
así te amo porque sé amar de otra manera,
sino así de este modo en que no soy ni eres,
tan cerca que tu mano sobre mi pecho es mía,
tan cerca que se cierran tus ojos con mi sueño.
A fleur de peau, pas de distance entre les fleurs et les fêlures, hier soir ce moment joyeux.
Quelquefois la sensation de l’endroit est violente : je me sentais en Corse , comme dans un tableau : la tour dans la nuit, cette paillote éclairée où chantaient mes amis, mes compagnons de travail, longue table de bois dehors, ; les voix dans la lumière… je pensais à Hopper,. Je pensais en même temps que je vivais l’instant. La mer toute proche, ces gens que je ne connaissais pas il y a 7 ans encore et auxquels je m’attache. Quand il y a du monde, je suis très extérieure , un regard…puis penchée vers quelques personnes seulement… j’étais comme un petit oiseau sous l’aile de Jacques, je vibrais de retrouver Francine (« on est venu pour toi », j’aurais voulu dire merci du fond des yeux, je n’ai que souri.. cette femme partie en retraite me manque…). Jacques et Mireille comme Jean et Françoise, des couples du même âge qui m’apportent à moi, déracinée de famille ( –volontairement- ) une protection salvatrice. Je sens bien que je deviens une petite fille sous leur bienveillance . Que je me blottis , que cède la cuirasse, je baisse alors les armes.. la liberté et l’indépendance se payent cher. Je suis orgueilleuse et frondeuse mais plus souvent tout petite, ballottée. Devant eux, j’écoute et je m’émerveille. Je cale ma fragilité entre leur histoire, je me sens bien. Hier soir, je regardais les autres danser et chanter, joyeuse troupe, et j’écoutais Francine et son mari e parler du Mexique, des petits, de la Castaniccia, puis Jacques de l’Algérie, de la Corse. Il me disait que j’avais tort de partir, que ma richesse était entre les 2 rives, ,que j’allais m’étioler, sans le désir de rejoindre toujours autre part….. Que quand on n’a toujours connu que ça, 2 mondes différents, un seul ne suffira jamais.. jamais.. ses mots résonnaient, il était sincère… oui j’ en ai déjà parlé , rejoindre l’idéal, c’est le souiller de quotidien , ne plus avoir de hâvre protégé à portée de main…. Mais ce désir de tenter autre chose… je me disais ici, en plus,, peut-être en lien avec l’Italie… mais non… j’espère que je ne flancherai pas, j’espère que ça ne deviendra pas une obstination….