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Articles RÉCents

6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 06:53
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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 06:50
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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 06:49
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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 06:39

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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 06:36
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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 19:55
Quel bonheur ! au milieu du péril que j'aggrave,
T'entourer de mes bras, te parer de mes fers,
Mêler à tes colliers l'anneau de ton esclave,
Toi que je sers, toi que je sers !
L’Esclave (Chateaubriand)
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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 19:46
Lettre a F.
 


Partire è un po’ morire, ma la scelta di continuare la tua doppia vita italo/francese è stata lungamente ponderata e ti permette ( permetterà ) di preservare un angolo di pace che potrai ritrovare ( quasi ) ogniqualvolta lo vorrai.
Le ansie, lo sai, sono come il mare.
Alle volte calmo, rassicurante, altre volte l’uragano si scatena lasciando disperazione sul suo cammino.
Decidere di essere in balia delle onde della vita e non attraccare ad un porto sicuro è una scelta coraggiosa e come tutte le scelte impone di accettarne le conseguenze, qualsiasi esse siano.
La libertà ha un prezzo e la non comprensione da parte della quasi totalità delle persone di questo tuo viaggio senza fine e senza meta ( dichiarata ) ne è parte integrante.
Le inquietudini passeggere, la solitudine talvolta, sono il ( giusto ) rovescio della medaglia di questa tua vita al di fuori degli schemi della normalità
( ma cos'è normale? )
E poi quando la notte si fa troppo buia ci sono gli amici, quelli veri, a ricordarti che non sei mai sola.

 

 
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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 08:17

RONGER SON FREIN

Ronger son mors, comme le fait un cheval impatient que l'on force au repos. L'expression, qui date du XIVème siècle, a sans doute été comprise aussi longtemps que le cheval a joué un rôle important dans la vie quotidienne. Puis, le mot mors ayant supplanté le mot frein dans l'usage courant, on ne perçut plus de l'expression que son sens figuré.

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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 07:51
envies d'italie frénétiques... j'ai beau hanter les sites de bateaux ou d'avions.. il n'y a aucune possibilté raisonnable (temps, prix) pour un we...je me sens en prison... c'est une prison dorée.. je le sais bien... rentrer chez moi, un instant me poser, écouter les journaux froissés d'un bar (sans fumée!), siroter un capuccino, entendre les conversations chantantes, la voix particulière des hommes (je n'ai toujours pas compris pourquoi cette tessiture n'existe pas souvent en France.. une histoire de tonalité de langue?)... passer sous les arcades , marcher dans une ville.. je dis "chez moi" mais autant ce pourrait être n'importe où, Pise, Florence...patience.. je ronge mon frein.. je ronge, je ronge.. je griffe et mords... jecrois que cette forme d'exil me rend plus sauvage encore... animal en cage ..
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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 21:11

"Un jour, dans cette absence égale, chronique, vous recevriez ces lettres, trois lettres. L'apparence d'un livre. L'auteur, ce serait vous, c'est-à-dire un autre. Un passant. Une Ombre, lointaine. Personne."  ... écrire  c'est avoir une très haute conscience de soi-même, et c'est avoir conscience que l'on n'est pas à la hauteur, que l'on n'y a jamais été.
[ Lettres d'or ]
Christian Bobin

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