Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Articles RÉCents

15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 20:59

 
Malgré les différences bien visibles, les filles et les garçons diffèrent d'environ 300 gènes, soit 1% de leur patrimoine génétique. Il y a d'ailleurs souvent plus de différences entre individus à l'intérieur d'un même sexe qu'entre une fille et un garçon.

 Les organes des sens

Globalement, la femme est beaucoup plus sensible :
• Son ouïe est plus développée (d’où l’importance des mots doux, du timbre de la voix, de la musique)
• Son sens du toucher : les femmes possèdent jusqu’à 10 fois plus de récepteurs cutanés pour le contact ; l’ocytocine et la prolactine (hormones de l’attachement et des câlins) multiplient leur besoin de toucher et d’être touchées ;
• Son olfaction est plus fine : jusqu’à 100 fois, à certaines périodes du cycle.
• Son OVN (organe voméro-nasal, véritable sixième sens chimique et relationnel) perçoit les phéromones — qui traduisent plusieurs formes d’émotions : désir sexuel, colère, crainte, tristesse…Il serait aussi plus sensible chez les femmes (serait-ce là ce qu’on appelle « l’intuition »).
• Quant à la vue, elle est davantage développée — et érotisée — chez l’homme (d’où son intérêt et son excitation par les vêtements, le maquillage, les bijoux, l’érotisation du nu, son attirance pour les revues pornos…). Cependant, la femme dispose d’une meilleure mémoire visuelle (reconnaissance des visages et rangement des objets).

 

Partager cet article
Repost0
15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 13:43
Tout ça, c'est des faux bruits, des ragots, des sornettes,
De basses calomni's par Satan répandu's.
Pas plus d'accroche-cœurs sous la blanche cornette
Que de queu' de cheval, mais un crâne tondu.
Et les enfants de chœur en font, une binette...

Pas de troubles penchants dans ce cœur rigoriste,
Sous cet austère habit pas de rubans suspects.
On ne verra jamais la corne au front du Christ,
Le veinard sur sa croix peut s'endormir en paix,
Et les enfants de chœur se masturber, tout tristes...

Partager cet article
Repost0
15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 13:38
Il paraît que, dessous son gros habit de bure,
Elle porte coquettement des bas de soi',
Festons, frivolités, fanfreluches, guipures,
Enfin tout ce qu'il faut pour que le diable y soit.
Et les enfants de chœur ont des pensées impures...

Il paraît que le soir, en voici bien d'une autre!
A l'heure où ses consœurs sont sagement couché's
Ou débitent pieusement des patenôtres,
Elle se déshabille devant sa psyché.
Et les enfants de chœur ont la fièvre, les pauvres...

Il paraît qu'à loisir elle se mire nue,
De face, de profil, et même, hélas! de dos,
Après avoir, sans gêne, accroché sa tenue
Aux branches de la croix comme au portemanteau.
Chez les enfants de chœur le malin s'insinue...

Il paraît que, levant au ciel un œil complice,
Ell' dit : "Bravo, Seigneur, c'est du joli travail! "
Puis qu'elle ajoute avec encor plus de malice :
"La cambrure des reins, ça, c'est une trouvaille! "
Et les enfants de chœur souffrent un vrai supplice...

Il paraît qu'à minuit, bonne mère, c'est pire :
On entend se mêler, dans d'étranges accords,
La voix énamouré' des anges qui soupirent
Et celle de la sœur criant " Encor! Encor! "
Et les enfants de chœur, les malheureux, transpirent...

Et monsieur le curé, que ces bruits turlupinent,
Se dit avec raison que le brave Jésus
Avec sa tête, hélas! déjà chargé' d'épines,
N'a certes pas besoin d'autre chose dessus.
Et les enfants de chœur, branlant du chef, opinent...

Partager cet article
Repost0
15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 13:36

.Tous les cœurs se rallient à sa blanche cornette,
Si le chrétien succombe à son charme insidieux,
Le païen le plus sûr, l'athé' le plus honnête
Se laisseraient aller parfois à croire en Dieu.
Et les enfants de chœur font tinter leur sonnette...

Il paraît que, dessous sa cornette fatale
Qu'elle arbore à la messe avec tant de rigueur,
Cette petite sœur cache, c'est un scandale!
Une queu' de cheval et des accroche-cœurs.
Et les enfants de chœur s'agitent dans les stalles...

Il paraît que, dessous son gros habit de bure,
Elle porte coquettement des bas de soi',
Festons, frivolités, fanfreluches, guipures,
Enfin tout ce qu'il faut pour que le diable y soit.
Et les enfants de chœur ont des pensées impures...

Brassens

Partager cet article
Repost0
15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 13:35

De l’intérêt de ne pas laisser moisir un malentendu…

 

 

 

En effet il y a quelques mois déjà, sur un de mes téléphones (on sait que je ne réponds jamais !) une dame à la voix d’institutrice (paroles très bien prononcées, diction irréprochable.. avec quand même un petit air de toujours suçoter un bonbon…) me laisse de longs messages en m’appelant Sœur Jeanne … Il s’agit toujours de réunions dans le diocèse de Lisieux sur la rencontre du petit jésus et autres réjouissances du même acabit … Au début, bien sûr, je trouvais ça  drôle ,ces rendez-vous au patronat, avec l’archiprêtre du canton…et qu’on m’appelle sœur Jeanne après avoir été la star du porno au lycée  -dixit-(décidément je suis une femme bien diverse !! quelle personnalité !!) me faisait rigoler chaque fois.. mais maintenant que j’ai laissé la situation se sédimenter (la fameuse dame croit VRAIMENT que c’est le numéro de la soeurette – en l’occurrence bien à la pointe du progrès, le portable sous la cornette !!)  et elle insiste devant l’incompréhension chronique de ladite religieuse qui doit toujours se pointer en retard ou pas du tout aux rendez-vous normands… je l’imagine un peu désemparée (‘ »je vous assure , je n’ai rien reçu » sous l’œil passablement excédé de son interlocutrice !! « puisque je vous dis que j’avais laissé un message !! »). On imagine aisément la commisération et les idées (pff elle ne doit pas savoir se servir de son portable).. et comme la situation dure depuis des mois, je n’ose plus intervenir (« mais pourquoi ne pas l’avoir dit avant, ???ça aurait permis à sœur Jeanne de ne pas manquer les discussions sur des questions capitales » –on s’en rend bien compte !!)… Du coup, et c’est là que ça devient amusant, c’est que j’éprouve maintenant un peu de culpabilité quand je reçois ces appels (je les ai fait écouter et c’est vrai qu’on a l’impression de glisser dans la 4ème dimension !! quand même…) même si teintée –mea culpa, je me fouetterai vingt fois-  d’une forme de jubilation…

 

 

 

Ps : dieu merci elle n’est pas tombée sur l’autre numéro , pour le coup la religieuse finissait .. bannie !!!!
Partager cet article
Repost0
14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 20:57
côte à côte elles semblent closes sur des secrets , des alcôves, des fraîcheurs de sieste... elles se ressemblent et se côtoient; ouvrent-elles sur la même pièce où sur les lieux différents? un espace féminin, des robes sur les chaises, des jupes à terre , un espace masculin, un journal, des chiffres entassés? Quand on les fixe, elles sont diverses, une plus fêlée, plus encadrée de couleurs.. l'autre comme plus robuste...j'y vois... mais non le trouble n'est pas de mise, il fauy se ressaisir, eviter tous les impossibles.. les fenêtres sont solidement rivées au mur mais ouvrent sur tous les infinis.....
Partager cet article
Repost0
14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 20:28

Je reste un an encore. Je prépare mon départ, je peaufine mes projets et j’ai confiance et les mois à venir seront des efforts de construction .. les portes et les fenêtres s’entrouvrent, se ferment, les gens passent et les voies sont à parcourir… je m’élance mais pas dans le mur ou le vide, pierre à pierre, comptant sur ma seule chance et ma  persévérance , je me décide dans un projet italien.. pour l’heure, il s’agit de résilier les liens à cet appart , qui sera comme une première ébauche du grand bond en avant, s’épurer déjà, emporter les fragments de mon futur quotidien. Les liens avec la terre de Corse sont profonds pourtant...c'est une force encore, une de plus..

Partager cet article
Repost0
14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 11:03

il fait chaud, envie de lâcher les sandales et de connaître d''autres sables.. patience.. il faut travailler... uffa... il fait chaud

Partager cet article
Repost0
14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 10:50

*

 

 

 

 

 

 

 

 

on reprend le goût des plages, des longues heures au bord de l'eau et dans l'eau, à Capo on n'a pas pu résister à tout ce bleu; elle était bien douce ...on avait promis on l'a fait et c'est le début de longues flottaisons loin du monde....une autre forme de bonheur..

Partager cet article
Repost0
13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 21:27
Il lui fallait maintenant s'enfoncer dans la mer chaude, se perdre pour se retrouver, nager dans la lune et la tiédeur pour que se taise ce qui en lui restait du passé et que naisse le chant profond de son bonheur. Il se dévêtit, descendit quelques rochers et entra dans la mer. Elle était chaude comme un corps, fuyait le long de son bras, et se collait à ses jambes d'une étreinte insaisissable et toujours présente. Lui, nageait régulièrement et sentait les muscles de son dos rythmer son mouvement. A chaque fois qu'il levait un bras, il lançait sur la mer immense des gouttes d'argent en volées, figurant, devant le ciel muet et vivant, les semailles splendides d'une moisson de bonheur. Puis le bras replongeait et, comme un soc vigoureux, labourait, fendant les eaux en deux pour y prendre un nouvel appui et une espérance plus jeune. Derrière lui, au battement de ses pieds, naissait un bouillonnement d'écume, en même temps qu'un bruit d'eau clapotante, étrangement clair dans la solitude et le silence de la nuit. A sentir sa cadence et sa vigueur, une exaltation le prenait, il avançait plus vite et bientôt il se trouva loin des côtes, seul au coeur de la nuit et du monde.(...)Il revint plus péniblement et sur le rivage, face au ciel et à la mer, il s'habilla en claquant des dents et en riant de bonheur. albert Camus

Partager cet article
Repost0